18 novembre....saint Maudé
St-Maudé Dixième enfant d’une famille Irlandaise, je crois même que le père était un roi, Godefroy, et son autre moitié, tout en sachant qu’elle n’était pas femme tronc, mais sur le trône telle une reine… Irène.
Maudé ne veut pas se marier, il préfère faire la foire de Tréguier et boire des pintes avec ses potes à l’estaminet du « chat noir », que tout le monde appelle « petit minou », le troquet pas Maudé, Maudé est un homme je vous le rappelle, même si ça chagrine la plupart d’entre vous.
Après avoir été ordonné, puis désordonné, puis cohérent, puis Coréen, il débarqua en Armorique avec son certificat du syndicat d’Harmonica et entre au monastère de Tréguier.
Il devient ensuite missionnaire, pas la position, avant de se retirer, c’est toujours pas sexuel, comme ermite près de Lézardrieux (Côtes d’Armor), là c’est sexuel…Armor c’est pas loin d’Amour…beuh, c’est sale comme mot.
Il déménage enfin sur une petite île de l’archipel de Bréhat (autrefois appelée Guelt-Enez et aujourd’hui l’île Maudez) et y fonde un monastère en compagnie de quelques disciples, t’imagine la teuf !!!